La cage de Redskin
lundi, août 21, 2006
  Kidnapping de Redskin
Le 15 juillet, un bon plan bondage s'est déroulé à Roubaix chez des amis de
BONDISSIMO.
Il m'a ligoté en tenues skin et mili dans toutes les postures imaginables et ça a donné une gallerie de photos absolument géante.
Si vous voulez voir ça de près, allez voir la
Galerie REDSKIN et vous
m'en direz des nouvelles. J'ai adoré. Certaines positions étaient très hardes, mais très bandantes.

Le bondage en tenues fétiches est un de mes trucs préférés. Des idées pour d'autres scénarios et aventures ? Ecrivez vos impressions et propositions. Merci !
 
vendredi, avril 14, 2006
  Plan prisonnier de guerre
Vêtu d'un treillis complet de marines américain, casquette, lunettes de soleil et rangeos, bien sûr !
Dans la rue, je me fais choper par derrière et plaquer au mur, pattes écartées, mains en l'air contre le mur pour ne pas tomber. Merde qu'est-ce qui m'arrive ?
Ferme ta gueule si tu tiens à la vie !
Des mains me palpent. Je ne sais pas combien il y en a.
Il a l'air désarmé !
Evidemment !! Qu'est-ce que je foutrais armé ?
On l'embarque ! Allez les mecs, au boulot !
Ma main gauche est saisie et mon bras retourné derrière le dos. Un contact froid, métallique, et le bruit caractéristique des menottes qui se referment sur mon poignet. Ma main droite suit le même chemin et je me retrouve la gueule écrasée contre le mur. Une boule est forcée dans ma bouche. Un bâillon !! Une sangle est bouclée fermement derrière ma tête. Mais qu'est-ce qu'ils me veulent ces mecs ?? Et ils me foutent un sac sur la tête. Une sorte de ceinturon est ensuite serrée au cou pour le maintenir en place. Ca doit être du cuir épais, car je n'entends plus grand chose. Un clic et je sens qu'on me tire par le cou. Une laisse !!!
Tant bien que mal, je marche dans la direction où on me tire. Une marche manque de me faire tomber en avant. Je monte dans une sorte de camionnette qui démarre sur les chapeaux de roues.
Après une bonne demi heure, on s'arrête, on me tire dehors et j'entends une porte qu'on referme derrière. Quelqu'un me palpe le cul et je sens une lame de couteau à travers le fond de mon treillis. Un courant d'air me caresse le trou.
Assieds toi doucement, salope !
Un contact froid et glissant. Un gode !! Ils veulent que je m'encule sur un gode !! Ils me poussent pour que ça rentre. Putain, c'est gros !! Je grogne dans le sac et me débats mais ça rentre inexorablement. Aïe aïe !! Mon cul va exploser, mais ça rentre toujours. Enfin je sens la chaise sous mes fesses. Le machin doit bien faire 25cm de long et, sachant ce que je suis capable de prendre dans le fion, au moins 6cm de diamètre. Je suis rempli et bouché comme jamais. Je n'ose pas trop bouger. Mes bras sont passés au dessus du dossier. Ils m'enlèvent les menottes pour me lier les mains immédiatement avec une corde. La corde est ensuite passée sur mes épaules, autour de mon torse et je me retrouve saucissonné sur la chaise. Pendant ce temps, des poignes fermes m'attachent les rangeos sous le siège. Une chaise à roulettes avec in pied central ! ILs forcent bien jusqu'à ce que mes pattes soient bien écartées et rajoutent des cordes pour que je ne puisse pas refermer les jambes. Me voilà bien !!

Le sac est retiré et je vois des flics cagoulés autour de moi. 4 mecs qui se marrent bruyamment en me mattant gigoter dans mes liens.
Gigote pas trop, tu es là pour pas mal de temps !
Et ils partent sans un mot. Je reste là pendant quelques heures, il me semble, saucissonné sur la chaise, bâillonné et enculé sur le gros gode. Putain, je bande à mort ! Ma queue n'a pas assez de place pour gonfler tellement les cordes sont serrées. Après quelques temps, ils reviennent.
On va jouer un peu avec le prisonnier !
La vareuse du treillis est déboutonnée violemment et ouverte de force sous les cordes pour exposer la poitrine.
Visez les nibards ! Il s'est fait percé les tétines et poser des anneaux ! Ca te plait, hein, salope ? Réponds pas, ça se voit au premier coup. Et bien, on va te les travailler un peu. Les pompes, vite ! Après cela il aura un vrai pi de vache à traire !
Il me tire sur les anneaux, les tourne, les triture. Je grogne dans la bâillon et je sens ma queue qui se gonfle au maximum. En plus je sens le gode qui m'agace la prostate. C'est sûr, s'ils n'arrêtent pas, je vais juter. Ils me lâchent enfin les tétines qui se dressent toutes droites avec les anneaux au bout qui se balancent. Un des flics me pose un cilindre de verre sur le sein gauche, enfermant le téton et l'anneau ensembles. Il enfile un tuyau en plastique à l'extrémité du cilindre, le relie à une pompe à main, et donne 4 ou 5 coups rapides. Mon sein est aspiré dans le cilindre et s'étire douloureusement. Il retire le tuyau et le cilindre reste collé à ma poitrine, bien dressé, comme une extension de mon sein. L'anneau cogne la paroi de verre quand je gigote. La douleur s'estompe et je serre les fesses sur le gode. Oh putain, c'est bon !!
Il recommence la même opération sur le sein droit et bientôt, ma poitrine est affublée de 2 excroissances de verre enfermant mes deux seins distendus et gonflés à bloc comme jamais ! Deux sexes suplémentaires qui semblent reliés à ma queue tellement je suis raide dans le treillis.
Puis ils m'abandonnent encore une bonne heure, seul, à saliver autour de la boule du bâillon et à mouiller le gode au rythme de mon sphincter.

Ils reviennent enfin pour me retirer les pompes à grands bruits. PLOP ! Une légère douleur, mais les tétines sont grosses, allongées et semblent en caoutchouc. Ils me refoutent le sac de cuir sur la tête mais pas la ceinture autour du cou. Et là, je sens deux bouches qui m'avalent les tétines et commencent à sucer. Je deviens dingue de plaisir. Les tétines sont devenues ultra sensibles et je vais juter. Ouah ! Je sens qu'on me passe quelque chose autour du cou qu'on ressert. Un noeud coulant !!
Gaffe, si tu jutes, on t'emmène dehors, on te trouve une belle potence et on te pend haut et court ! T'as une gueule à bien gigoter au bout d'une corde et on adorerait voir ça !

Vous me croirez si vous voulez : j'ai juté !
 
lundi, avril 03, 2006
  Accueil de mon pote Bruno ("Aiglenoir75" sur worldleathermen.com)
Je viens de faire la connaissanc en ligne d'un superbe mec cuir qui porte comme personne le perfecto et les tiags.
Bruno est sur St-Ouen et se présente ainsi sur http://www.lickmyboots.com/lthrbootsmen93 :
"Putain que c'est bon de pouvoir sniffer ses tiags et les lécher tout comme le cuir et le latex, se branler dessus et lécher hmmmmmmmm:-) se faire défoncer et faire lécher:-))))) sentir l'odeur d'un mek viril, son odeur de mâle très sex et non ceux qui se mettent du parfum!!!"
Comment résister à cette profession de foi !!! Voilà quelques unes des ses hot pix !
Son email : rickycuir@hotmail.com

Vous en pensez quoi ? Moi j'adore !! Et son jet de pisse !! MIAM !! Je ne sais pas pour vous, mais moi ça me donne soif... Un beau léche-bottes aussi, comme moi !!

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Putain quel bomec en tiag !! Impérial !
 
  La nouvelle camisole en latex

Même principe que la combi latex sans bras, mais de façon plus traditionnelle : La camisole de force en latex. Un plan internement d'office et de force en asile de fou pour fétichiste du latex pour une durée indéterminée. Enfermement en cellule capitonnée pour éviter les gnons tout en prenant bien soins de placer un barre d'écartement aux bottes du dingue pour restreindre ses possibilités de déplacement. La mienne est munies de menottes anglaises pour pieds de façon à ce qu'il soit impossible de les enlever sans l'écrou adéquat.


Cette camisole a été faite sur mesure, complètement adaptée au malade qui écrit ces lignes pour votre plaisir. Une fois enfermé là-dedans, les possibilités de mouvements sont très restreintes. Même les bras sont maintenus à l'avant car il y a certains contorsionnistes qui arrivent à se libérer en passant les bras au dessus de la tête. Là, c'est impossible. Les sangles entre les jambes empêchent également de se libérer de la camisole en la tirant vers le haut. De toute façon, avec les sangles du dos, au nombre de 4, et sévèrement tirées, la camisole adhère complètement au torse. Même si tu mets du lubrifiant avant de l'enfiler, il est impossible de la retirer tout seul.
J'ai demandé l'installation de clapets aux seins parce qu'il faut bien avoir accès pour pomper les tétines (que j'ai percées) et les tranformer en pi de vache à traire et torturer. Si le mec est sensibles des seins et qu'il est sain d'esprit avant l'internement, ce traitement le rendra dingue de toute façon et justifiera a posteriori sa réclusion à perétuité.
Pour le reste, la cagoule serrée de bondage, aveugle et épaisse, permet la restriction des sens : perte de la vue, partiellement de l'ouïe, perte de la notion du temps (pratique si l'internement est de très longue durée) et bien sûr, perte de la parole par le gonflage à fond du bâillon... Pas d'inquiétude, celui-là permet de respirer.
J'allais oublier : très important de boucher l'autre trou du cinglé. Le zip au cul prend là tout son sens. L'ouvrir et planter dans le cul un plug conséquent. Le mien (qui ne se voit pas là) fait 20cm de long sur 5,5 cm de diamètre. La queue, elle, est encapuchonnée dans un étui de latex qui moule aussi les couilles ; celles-ci comportant un ballstretcher relié au cockring en caoutchouc, lui aussi. Le paquet ainsi formé est emprisonné dans le codpiece du short latex qu'on devine sous le chaps. Il faut prendre ces précautions, parce qu'avec ce traitement le dingue enfermé jouit régulièrement et ça foutrait de la jute partout.
Voilà en gros, l'essentiel de la fonction de ma nouvelle camisole. Si vous voulez la même, contactez moi et je vous mettrai en relation avec l'excellent fabicant anglais qui me l'a faite. Si certains ont la cellule adéquate pour interner le dingue ou s'ils veulent faire d'autres usages du bondé, n'hésitez pas à me le signaler. Tous les commentaires et idées sont les bienvenus.
RedskinBD
 
mardi, mars 07, 2006
  La combi latex sans bras ou comment déshumaniser un clebs


Il est temps maintenant d'aller plus loin dans la dépersonnalisation par le bondage. Le latex se prête bien à cet exercice. Me faire disparaître entièrement sous le caoutchouc est très bandant. Si en plus l'absence de bras permet de déshumaniser le mec !!!!
Alors voilà un peti exercice effectué le week-end dernier.
Première chose : Mettre la queue dans un étui latex enfermant aussi les couilles.
Puis, Enfiler la combi sans bras zippée au cul, codpiece pour la queue et tirer le zip au dos le plus haut possible. Sans aide, c'est impossible.
Troisièmement, enfiler le chaps en latex et le sangler fermement à la taille car il va servir de ceinture pour empêcher les bras de descendre à l'intérieur de la combi une fois qu'elle sera totalement fermée.
Quatrièmement, enfiler la cagoule de bondage avec collerette de chez Cocoon et la fermer serrée en forçant les lacets arrière à fond pour bien comprimer la tête. Une fois bien mise en place, il est tant de fixer le bandeau en tirant les boucles jusqu'au dernier trou. De même pour le bâillon gonflable qui permet de respirer à travers le tube à gonflage. Bien sûr, fixer la poire et gonfler à fond pour la bouche soit remplie et la langue bloquée. (Attention, c'est pas pour les débutant car ça peut être dangereux)
Les bottes 20 trous de skinhead sont ensuite bien serrées par dessus le bas du chaps et les lacets blancs tendus, la boucle du haut cachée derrière la languette.
Enfin, il est temps de compléter le tout en tirant le zip arrière jusqu'en haut du cou par dessus la collerette de la cagoule.
Le collier incorporé doit être bouclé fermement, ainsi la tête est tellement enfermée dans le caoutchouc par la cagoule et le haut de la combi qui coince la collerette à l'intérieur qu'il devient quasiment impossible de bouger la tête.



Ca y est le mec a disparu sous le latex. Plus rien d'humain n'est visible. Juste une forme à deux pattes dont le torse démesuré se gonfle sous les efforts impossibles que font les bras à l'intérieur pour bouger. C'est génial !!
Maintenant, une laisse peut être fixée au collier, et le prisonnier tiré dehors pour une petite promenade exhibitionniste, ou alors laissé au sol, de tout son long, à gigoter des heures pour essayer de se libérer. Je vous garantis que c'est impossible et que la sensation est démente. Au bout d'une ou deux heures d'efforts, de transpiration et de frottement de la queue dans le codpiece, en général, une puissante jouissance remplit l'étui en caoutchouc de la queue dissimulée.
Essayez, vous verrez. Mais ce n'est pas un plaisir solitaire. Il vous faut un géôlier pour vous emprisonner ainsi et avoir la patience de vous laisser enfermé ainsi.
A plus, pour d'autres aventures.
Redskin
 
vendredi, février 17, 2006
  A propos de sieste

Voilà comment je conçois une bonne sieste. Coupé du monde par une bandeau sur les yeux, un bâillon bien enfoncé, le tout sanglé par une muselière bien serrée.
Il ne reste plus qu'à enfermer le dormeur dans sa camisole de force pour le garder en place et qu'il ne se sauve nulle part. La camisole de force est en cuir épais faite sur mesure avec 2 sangles entre les jambes pour qu'il soit impossible de la retirer seul. A l'arrière, 5 sangles pour la fermer serrée. Les bras sont sanglés ensembles à larrière et maintenus immobiles à l'avant par un lien cuir riveté à la camisole. Pour ajouter au bondage et à la sensation d'impuissance, les biceps sont liés ensemble à l'arrière par une sangle réglable qu'on peut tirer au maximum. Ainsi le dormeur est bien empaqueté et isolé du monde.
Des ouvertures à pressions sont aménagées au niveaux des seins pour qu'on puisse y accéder. Ainsi, lorsque le dormeur ne s'y attend pas, on peut lui étirer les seins, lier ses anneaux de percing, mettre des poids ou, comme sur la photo, les pomper au maximum pour lui faire des pis de vache. Une fois gonflés et pleins, les tétines sont d'une sensibilité extrême et tout attouchement une exquise torture sans que le bondé puisse se branler.

 
mercredi, décembre 21, 2005
  Ligotage du cowboy


Nouveauté de la semaine : une scéance de ligotage serré et "hogtie" en tenue de cowboy. La tenue : jeans moulant stretch, chemise cuir, c'est la base. A cela s'ajoutent : les tiags Sendra bleues très hautes avec talon de 6 cm et éperons mexicains, les chaps cuir avec conchos, bien sûr et le gilet de cuir modèle Schott, très rare plus le chapeau et les bandanas, très pratiques pour le bâillonnage. Des gants de cuir longs pour compléter le tableau, et me voilà prêt pour quelques bons moments de gigotage pour éprouver les liens, sans succès d'ailleurs, comme d'habitude. C'est ça le truc. Bandaison garantie pendant toute la durée du saucissonnage.

 
jeudi, décembre 01, 2005
  Incursion dans le breathcontrol

Ayant reçu mon nouveau sac en latex avec masque à gaz attaché, je n'ai eu de cesse que de l'essayer. Divins le sac de respiration et la tuyauterie en circuit presque fermé. Ajoutez à cela la perpétuelle odeur de caoutchouc et vous vous retrouvez au paradis. J'ai pris un pied d'enfer !!



Comme vous le voyez, sur ces photos, je n'ai rien contre passer des heures sévèrement bondé.
 
vendredi, novembre 18, 2005
  Hommage à mon ami de Lille
Puisqu'il a posté un commentaire très chouette et émouvant, je ne peux que vous recommander de le visiter sur sa page LEATHERGUYLILLE.

Très beau mec et gentil avec ça. Et puis, le cuir et les bottes n'ont aucun secret pour lui. Peut-être le rencontrerez vous au détour d'une manifestation cuir en Blegique ou en Hollande.

Je t'embrasse François !

RedskinBD
 
  Le blog de mon copain Kriskuir
Impossible de créer un blog consacré au bondage strict sans faire référence à celui de mon copain de tant d'année sur le même sujet :
KRISKUIR

Un super mec cuir dingue de cuir moulant, de fringues de skin, de breath control et des cordes, tout comme moi. Il est Suisse et ne se laisse pas faire facilement.

Longue vie à nos blogs !
RedskinBD
 
Bondage, Bondage strict, Incarcération, Séquestration, Bottes, Cuir, Latex, Skinheads, Motards, Uniformes, Cowboys, Chaps, Piercings, Tatoos, Ligotage, Exhib en laisse, photos et vidéos

Blog ami : KRISKUIR

Un autre blog ami : BONDISSIMO

A friendly blog : STRAIGHTJACKETED

Ma photo
Nom :
Lieu : Meuse, Lorraine, France

Mec cuir, look skin (de gauche), gay, partageant la vie de celui que j'aime depuis 1986, avec qui je partage mes fantasmes de bondage. Parfois je rencontre des mecs (Mais le mien reste le premier).
Je suis fétichiste cuir, latex, fingues de skin et autres mili, bikers, keupons. Donc je ne vois que les mecs lookés hards.
Pour les trips, j'aime la soumission/domination, le dogtraining et les rapports uro, le bondage strict, les plans kidnapping et séquestration, en cellule capitonnée ou prison, les cages, les bâillons, les cagoules, les sangles en cuir, les cordes et les chaines, les menottes et les fers, les camisoles de force et sacs de bondage, suspension, mise au pillori, les jeux de noeud coulant (en toute sécurité).
Je suis le soumis, mais pas larve ni esclave. Par contre le langage joue un rôle dans le jeu.
Le sexe est secondaire, alors ne vous inquiétez pas si je n'en demande pas.

ARCHIVES
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